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Leina, nouvelle travesti 1 – Ma tante crĂ©e Leina par Leina

Leina, nouvelle travesti
1 – Ma tante crĂ©e Leina
par Leina


Ce rĂ©cit est relatĂ© Ă  partir d’une histoire vraie, ma propre histoire

Les vacances d’automne, ma pĂ©riode prĂ©fĂ©rĂ©e depuis que je suis Ă©tudiant, deux semaines Ă  se la couler douce, enfin c’est ce que j’avais prĂ©vu…

- Nathan, tu dois passer chez ta tante aujourd’hui pour l’aider dans sa maison, elle Ă  le bras dans le plâtre.

Zut, j’avais oubliĂ© cette histoire.

Je me mets en chemin de chez ma tante. Apres tout çà ne me prendra qu’une heure oĂą deux, ce n’est pas la mort. En plus elle est gentille ma tata, elle m’a toujours gâtĂ© depuis mon enfance, et encore aujourd’hui Ă  20 ans. Je sonne Ă  la porte.

- Bonjour mon chérie.

Ma tante, une jolie femme de 40 ans, brune et assez grande. Comme Ă  son habitude bien habillĂ©e et maquillĂ©e. Un pantalon noir moulant, et une petite chemise ajustĂ©e, ouverte juste ce qu’il faut. Une femme divorcĂ©e, et une fille partie sur Paris chez son père pour Ă©tudier.

- Salut tata, ça va ?
- Oui oui, et toi ça va. Ta maman va bien ?
- Tout le monde va bien merci.
- Merci d’ĂŞtre venu me donner un petit coup de main.
- Pas de quoi c’est normal
- J’ai rendez vous chez le mĂ©decin, je vais t’abandonner une petite heure, je t’ai fait une petite liste sur la table.
- Ok, je devrais m’en sortir.
- Merci je file, je te préparerais un bon gouter à mon retour.

Ben voyons, une petite liste…. Je me dirige vers la table et cette fameuse liste. C’est vrai qu’elle est petite, ramasser les feuilles, arroser les arbres et plantes… Allez au boulot. Direction le balcon pour l’arrosoir.

Une vision retient mon attention, la porte de sa chambre ouverte, laissant apparaitre une partie de sa garde robe. Je ne peux m’empĂŞcher de faire un petit dĂ©tour par sa chambre. J’ai depuis mon adolescence une passion pour les vĂŞtements fĂ©minins, j’ai passĂ© des heures entières habillĂ© en fille. Des que la maison Ă©tait vide je me prĂ©cipitais essayĂ© les fringues de ma sĹ“ur. Et j’ai mĂŞme ma petite collection personnelle.

Devant tout ses trĂ©sors je suis très excitĂ©, et l’envie me prend de faire un petit essayage. Mais hors de question, ça ne se fait pas… De plus si elle me surprend. Elle m’a dit qu’elle en a pour une heure, et les mĂ©decins sont toujours en retard… Bon d’accord mais seulement quelques minutes…

Mon regard se fixe vers une petite robe noire moulante. Je sĂ©lectionne, un petit ensemble string jarretelles, et un soutien gorge assorti. Je ne perds pas une minute pour m’habiller.
La nature m’a donnĂ© un corps assez fĂ©minin, une faible pilositĂ©, des hanches plutĂ´t larges et des fesses rondes et rebondis, ce qui m’a valut plusieurs complexes Ă©tant ado.

Une fois prĂŞte, il ne manque qu’une paire de chaussure, j’opte pour des petits talons noirs, je compresse mes 40 de pointure dans un 39. Me voila en marche pour le grand miroir du salon. Je me regarde dans la glace, et voit le reflet de la femme que j’aurais aimĂ© ĂŞtre. J’ondule et me regarde, rĂ©ondule me reregarde… Je pourrais passer des heures Ă  me regarder ainsi. J’adore l’effet de cette robe, elle laisse apparaitre ma cambrure, mise en valeur par une petite poitrine lĂ©gèrement rembourrĂ©e, et mes fesses gĂ©nĂ©reuse. Elle laisse deviner mes bas, s’arrĂŞtant juste au dessous. Je suis en extase devant ce miroir….

- Satané bus, toujours en grève, et toujours au mauvais moment.

Mon cĹ“ur s’accĂ©lère, je suis comme figĂ©e dans le salon.

- Tata…
- Tu es dans le salon. Ohhhhh mon di… Nat. Nathan. Que fais-tu. Mon dieu…
- Je suis dĂ©solĂ© tata, je t’en prie dis rien a maman…

Des larmes coulèrent de mes yeux à ce moment la.

- Non non, je ne dirais rien. Viens t’assoir. Tu sais beaucoup de garçon, font ça. Tu n’as pas Ă  avoir honte, si tu aime ça. Tu le fait souvent ?
- Oui
- Ça se voit ça te vas très bien, tu es très crédible. Lèves toi tu veux ?

Sans un mot je me lève devant elle, et marche un peu comme pour un dĂ©filĂ©. Mon angoisse a disparue, et je suis excitĂ© au plus au point. Je bouge devant elle me retourne et la laisse voir cette femme que j’ai toujours cachĂ©e.

L’entendre parler de moi au fĂ©minin me rendit tellement heureuse.

Elle mit ses mains sur la robe, pour la rajusté un peu, elle replaça mes bas, et me mis une petite tape sur les fesses, ce qui nous fit rire toutes les deux.

- Tu sais quoi. Bruno t’adorerais, c’est un collègue photographe spĂ©cialisĂ© en travestis, c’est une vraie passion. Tu aimerais le rencontrer ?
- Oui j’aimerais beaucoup.
- Reviens demain, j’aurais une petite surprise pour toi.
- Tu vas appeler Bruno ?
- Non on va finir de te préparer, repasse demain a la même heure.
- D’accord je file me changer.
- Oui attends, il te faut un prĂ©nom… Pendant sa grossesse ta maman avait choisit Leina comme prĂ©nom fĂ©minin, ca te plait ?
- Oui j’adore.

Leina, j’Ă©tais devenue Leina. Quel plaisir de ne plus ĂŞtre seule a connaitre cette autre facette de moi. J’Ă©tais encore surpris par la rĂ©action de ma tante. On allait pouvoir partager se secret toutes les deux. J’ai hâte de voir la suite des Ă©vènements.

Le lendemain avec impatience je me dirige chez ma tante, jamais je n’avais marchĂ© aussi vite.

L’entendre m’appelez ainsi me fit très plaisir.

- Salut tata.
- Entre vite on a du boulot.
- Oui je me dépêche
- Bon je t’ai prĂ©parĂ© une petite tenue, et je t’ai achetĂ© une petite surprise. DĂ©shabilles toi vite.
- Euhh..
- Fais pas le timide, j’en ai dĂ©jĂ  vu avant la tienne.

Je me mis nu devant ma tante, je trouvais cette situation assez bizarre et gĂŞnante.

- Sois pas gĂŞnĂ©e on est entre copines, les filles n’ont aucune honte Ă  se dĂ©nuder entre elles.
- Oui bien sûr
- Ah tu n’es pas poilu, mais on va quand mĂŞme te dĂ©barrasser des petits poils qui trainent.
- Volontiers.

Elle me traina dans la salle de bain, et me passa une crème dépilatoire, sur les jambes, les fesses, le sexe et les aisselles.

- Voila bientĂ´t tu seras toute douce. Ah j’ai parlĂ© de toi Ă  Bruno.
- Ah oui, et alors ?
- Ça tombe bien il cherche de nouveaux modèle en ce moment, mais il voudrait d’abord te voir.
- Je comprends oui
- Donc on ira le voir quand tu seras prĂŞte, tout a l’heure.
- Hein quoi. Sortir comme ça ?
- Ne t’en fait pas. Viens la je vais te rincer.

Impossible, je ne pouvais pas sortir en femme, j’y avais souvent pensĂ© mais ça restait un fantasme Ă  mes yeux… J’Ă©tais perdue dans mes pensĂ©es et mes apprĂ©hensions, pendant qu’elle me rinçait. Je fus pris d’une belle Ă©rection, quand elle passa la main sur mon sexe.

- HĂ© bien tu perds pas de temps

Elle me dit ça très naturellement en riant.
- Mais non ne rougit pas c’est normal.

Ca en devenait embrassant.

- Il faut te calmer maintenant, sinon on risque d’avoir une petite bosse tout a l’heure sous tes vĂŞtements. Fait ce que tu as Ă  faire vas y.

- Mais tata…
- Allez ne discutes pas.

Je pris donc ma verge en Ă©rection et je commence Ă  me masturber devant ma tante qui ne perd pas une miette du spectacle qui semble l’amuser Ă©normĂ©ment, ce qui ne faisait qu’augmenter mon excitation.

- On n’a pas de temps Ă  perdre…

Elle saisit mon sexe et finit le travail elle mĂŞme, ses mains Ă©taient douces. Je n’ai pas tarder Ă  jouir dans ses mains.

- Sèches-toi pendant que je me lave les mains.

J’Ă©tais encore sous le choc de la scène qui venait de se passer…

- Bon vu que nous allons sortir dehors, j’ai choisit une tenue soft.
- Tu as bien fait.

Elle me tendit tout d’abord les sous-vĂŞtements, un string noir Ă  dentelles. Et un soutif qui va avec.

- Voila deux petits cadeaux. T’auras l’air d’une vraie femme avec ca.

Elle me tend deux prothèses en silicone. Le toucher semble vraiment très rĂ©el. Elle me les place avec prĂ©caution, bien droite et symĂ©trique. Pendant que j’enfile mes sous-vĂŞtements, elle me donne un jeans, et une petite tunique blanche. Je les enfile, le jeans est très moulant je le sens galber mes fesses et mes cuisses. La tunique est Ă©galement près du corps, elle dessine parfaitement mes courbes.

- Suis mois dans la salle de bain.

Elle se lance dans une séance maquillage. Elle fait ça très bien, très concentrée ses gestes sont très précis. Elle semble avoir finit.

Elle revient avec une perruque, encore sur son socle.
- Une autre petite surprise. Elle te plait ?
- Oui elle est superbe.

C’Ă©tait une perruque brune, lĂ©gèrement bouclĂ©e, longue jusqu’aux Ă©paules. Elle l’ajusta sur ma tĂŞte, mis quelques coup de brosses.

- Tu veux voir le résultat ?
- Oui bien sûr.

Quelle surprise en dĂ©couvrant dans le miroir ce reflet, je me sentais vraiment femme. Jamais je n’avais Ă©tĂ© aussi bien maquillĂ©e, et la perruque Ă©tait d’un naturel dĂ©routant. Je ressemblais rĂ©ellement Ă  une femme. Ce jeans me rendait très sexy.

- PrĂŞte Ă  y aller ?
- Il faut bien.

On se mit en route direction l’arrĂŞt de bus. J’Ă©tais stressĂ©e et j’avais peur du regard des autres. On croisa une première personne, un homme surement un voisin de ma tante, elle lui fit un signe de tĂŞte auquel il rĂ©pondit naturellement. Zut il y’a du monde qui attende le bus. Une vielle dame, elle dit bonjour a ma tante.

- Bonjour vous allez bien ?
- Oui ca va, et vous ?
- Bien merci, c’est votre fameuse fille de Paris ?
- Non c’est ma nièce Leina.
- Un très joli prénom, pour une jolie demoiselle.

Ouf j’Ă©tais passĂ© inaperçue, je devais rĂ©pondre… Ma voix allait elle me trahir. J’avais travaillĂ© ma voix chez moi, mais je ne sais pas si elle est convaincante. D’une voix que j’ai essayĂ© de rendre la plus douce possible, je lui rĂ©ponds.

On entre dans le bus, ma tante me sourit. En entrant dans le bus, je prends une dĂ©marche très naturelle, bougeant un peu mes fesses en imitant ma tante. Beaucoup de regard se tourne sur nous j’ai mĂŞme entendu un « elle est bonne celle la » qui ma bizarrement rassurĂ©e.
Je dis Ă  ma tante, en gardant ma nouvelle voix.

- T’as vu je suis bonne.

Elle se mit Ă  rire. Le trajet fut assez long, on descend du bus, Bruno habitait a quelque pas d’ici. On marchait dans la rue toujours avec cette fameuse dĂ©marche assez provocante. J’Ă©tais excitĂ© au plus au point, j’essayais de me calmĂ© pour ne pas faire apparaitre une bosse disgracieuse. Je sentais le vent agitĂ© mes cheveux sur mes Ă©paules, un vrai bonheur.

- Voila c’est ici.
- Je stresse.
- Mais non, oublie pas tu es bonne.

Cette phrase m’a faite sourire, ma tante sonne Ă  la porte. Bruno ouvre la porte, un homme d’une quarantaine d’annĂ©e, classe, bien habillĂ©. Il fait une bise chaleureuse Ă  ma tante, qui nous prĂ©sente. Il me fait la mĂŞme bise. J’ai sentit quelque chose de spĂ©cial dans son regard.

- Et ben, Virginie tu m’avais pas menti. Vraiment quel canon, je suis sous le charme.
- Je savais qu’elle te plairait

Je rougissais un peu dans mon coin, pendant que les deux parlaient de moi.

- Viens donc t’assoir Leina. me dit-il

Je m’assois donc a cotĂ© de lui, il n’arrĂŞtait pas de me regarder.
-Alors comme ça tu aimerais ĂŞtre modèle. J’avoue tu es très belle, mais il ne suffit pas de ça.
- Oui j’aimerais bien essayer.
- Lèves toi un peu et bouge, pour voir ce dont tu es capable.

Je me lève, devant lui et oublie ma timiditĂ©, je tortille devant cet inconnu. Je l’aguiche le plus possible, lui dĂ©voile mes charmes, mes formes. Je pose devant lui, et ca semble lui plaire.
- Magnifique ma chérie, tu es superbe.
- Je vais vous laisser j’ai des choses Ă  faire. Dis ma tante

Je fus surpris par ces paroles, elle allait me laisser seule avec lui, ce n’Ă©tait pas prĂ©vu ça. Ma tante s’en va, elle me dit au revoir d’un doux baiser sur la bouche, pour ne pas abimer mon maquillage.

- DĂ©tends-toi Leina, je ne vais pas te manger.
- Oui tout va bien.
- En te voyant j’ai vraiment ressenti quelque chose…
- Ah bon ?
- Oui. Ce soir j’ai des amis qui viennent diner j’aimerais que tu restes.
- Euhh…si cela vous fait plaisir.
- C’est pas le genre de diner auquel tu t’attends. Mes amis sont des passionnĂ©s comme moi. On se rĂ©unit une fois par mois et on expose nos nouvelles trouvailles…
- Comment ça ?
- On a chacun notre travestis, c’est comme un petit jeu, celui qui aura la plus jolie, et la mieux dressĂ©e.
- Pardon ?
- C’est un peu de la domination soft ne t’inquiètes pas je ne te ferais rien de mal. Tu peux encore dire non…

J’Ă©tais un peu dĂ©routĂ©e par sa demande, un peu bizarre. Mais le fait d’ĂŞtre exhibĂ© par un homme comme un trophĂ©e m’excitait totalement, après tout je ne risque rien.

- Bon je suis partante.
- J’ai une tenue pour toi.

Il me donna des bas blanc et un ensemble string soutien gorge rouge.

Sans pudeur je me dĂ©shabille devant lui, le plus sensuellement possible, je prenais du plaisir Ă  sĂ©duire cet homme. J’essaie cette nouvelle lingerie, elle m’allait très bien.

- Je te plais ?
- Juge par toi mĂŞme.

Il prit ma main et la mis sur son sexe, qui Ă©tait en effet tendu. J’ai toujours aimĂ© toucher des sexes d’hommes, j’en avais dĂ©jĂ  eu l’occasion auparavant. Mais lĂ , en Ă©tant habillĂ© en femme, l’excitation Ă©tait encore plus forte. Sans rĂ©flĂ©chir je me mis a genoux, et ouvrit sa braguette.

- T’es une coquine toi, tu vas me plaire. Suces moi oui

Je sortis sa verge, et je l’attaque a coup de langue sur la longueur, je finis par l’engloutir entièrement. Je le suce du mieux que je peux, je m’applique pour cet homme, mes cheveux me gĂŞne un peu. Il les attrapes pendant que je continue Ă  le pomper. Cette tenue m’excite Ă©normĂ©ment. J’entends sa respiration qui s’accĂ©lère.

Il lâcha une bonne giclé blanche sur le sol.

- Hummm, tu es géniale comme fille.
- Merci

A ce moment la une vĂ©ritable complicitĂ© s’Ă©tait installĂ© entre lui et moi. Il me tend la tenue. Une petite tenue style Ă©colière. Jupe courte rouge Ă  carreaux et petite chemisette blanche. Je m’habille devant lui et replace ma perruque et mes bas.

- Magnifique ma chérie. Baisse-toi.

Il me passa un collier autour du cou, comme un collier pour animal auquel on peut fixer une laisse.

- Je vais nettoyer ca, ils vont arriver d’une minute Ă  l’autre.

Quelques minutes plus tard, on sonne Ă  la porte.

- Restes dans la chambre, je viendrais te chercher.

J’entends plusieurs voix d’hommes, ils se saluent et rient. Bruno les invite dans le salon. Je l’entends arriver. Il m’accroche une laisse au collier.

- Reste Ă  quatre pattes on va les rejoindre
- Oui
- Chut. Ne parles que quand je te le demande.

Il me tire et je marche Ă  quatre pattes, la jupe courte laisse entrevoir mes fesses, je me cambre le plus possible et avance avec douceur. Je lève la tĂŞte je vois deux autres hommes avec chacun une fille en laisse. Elles sont assises aux pieds de leurs maitres. Les deux très sexy, une habillĂ© tout en cuire, blonde. L’autre en guĂŞpière une petite brunette c’est ma prĂ©fĂ©rĂ© des deux. Elles sont plus âgĂ©es que moi

- Voila Leina, c’est ma petite nouvelle

Il tire violemment la laisse, j’ai compris qu’il voulait que je me lève.

Il soulève ma jupe aux yeux de tous, comme pour leur montrer la marchandise. L’un deux s’exclama

- Tu la déniché ou celle la ?
- J’ai de bonnes sources.

Je me sentais un objet totalement soumise, il m’exhibait devant ses amis qui me mataient sans gĂŞne. La situation ne me dĂ©plaisait pas du tout, je sentais que je leur plaisais et ca m’excitait. Les deux autres hommes font de mĂŞme avec leurs soumises chacun la donnant en spectacle devant nous. Pourtant chacun semble respecter Ă©normĂ©ment son « jouet ».

Chacun finit par reprendre son siège. Quand a moi je suis a genoux, aux pieds de Bruno, le dos droit les fesses ressortit et surtout excitĂ© au plus au point. L’un d’entre eux ne me lâche pas du regard.

- Elle te plait. lui dit Bruno d’un ton satisfait.
- Oui, j’aimerais la voir de plus près.

Bruno lui tend le bout de ma laisse, en lui disant:
- Pas de bĂŞtises.
- Ne t’en fait pas.

Il me tire petit Ă  petit vers lui jusqu’Ă  ses pieds, il me saisit le menton et me relève la tĂŞte pour mieux voir mon visage.

- Magnifique, on dirait une vrai fille, quel féminité.
- Merci. Lui dis-je toute heureuse
- Leina qui t’as autorisĂ© Ă  parler. s’exclame Bruno. Corrige-la pour moi Marc.
- Avec plaisir, je vais lui apprendre.

Il me souleva voilement d’un coup de laisse, me plaça le ventre contre ses cuisse les fesses en arrière. Il lança une première fessĂ©e.

- Je vais t’apprendre les bonnes manières.

Chaque nouveau coup me provoque un petit soupir de douleur ou de plaisir. Je sens mes fesses qui commencent Ă  chauffer.

- T’en a assez, dit merci.
- Merci Monsieur.
- C’est bien, viens sur mes genoux.

Je grimpe sur ses genoux, pendant qu’il fit signe a sa soumise d’aller vers Bruno. L’ambiance commençait Ă  ĂŞtre chaude. Moi qui n’avais eu seulement qu’une brève expĂ©rience avec un homme, je me retrouve sur les genoux d’un inconnu. Il explore mon corps avec ses mains, il met sa main sous ma jupe caresse mes cuisses. Il m’embrasse avec sa langue forçant sur mes joues pour pouvoir l’insĂ©rer dans ma bouche.

- Ca suffit. dit Bruno. N’oublies pas qu’elle est Ă  moi.
- Je me disais que ce soir on pouvait peut ĂŞtre Ă©changer ?
- Non non je la garde.

Le 3ème homme regardait la scène sans dire un mot tout en caressant sa soumise, la petite brune, qui semblait apprécier. Soudain il lança:

- Marc les règles sont les règles calme tes pulsions, il n’a jamais Ă©tĂ© question d’Ă©changes.
- T’as raison Ludo.

Il rend ma laisse a Bruno, et me mis une petite tape sur les fesses.

- Et si on laissait ces petites coquines nous chauffer un peu. Vous en pensez quoi.
- Bonne idée Bruno.

Chaque maitre Ă´ta la laisse de son animal, les deux autres filles se rejoignent, elle semble habituĂ© elle commence Ă  s’embrasser, je les rejoins rapidement. On Ă©change un baiser langoureux Ă  trois. Nos mains se baladent de partout, je suis comblĂ©e par ces deux filles qui semblent beaucoup aimer mon corps. Les trois hommes ont maintenant baissĂ© leur pantalons et commencent a se branlĂ© en ne perdant aucune miette du spectacle. Moi je suis Ă  quatre pattes embrassant la brune avec passion, pendant que la blonde me caresse les fesses. Sa langue se balade le long de ma raie ce qui me chatouille un peu. Elle m’enfonce un doigt, je lâche un gĂ©missement de plaisir, elle continue Ă  me ramoner mon petit trou, le fouille avec sa langue. Quelle cochonne !

Je suis toute excitĂ©e, elle a maintenant deux doigt qu’elle enfonce profondĂ©ment. C’est la première fois que quelqu’un d’autre me doigte l’anus. Je commence Ă  jouir pendant qu’elle accĂ©lère la cadence. La blonde se retourne Ă  mon tour de lui manger ses fesses. Je lui baisse sa culotte en cuir, libĂ©rant des fesses blanches et fermes, assez plate. Son anus est tout rose, et semble très propre je n’hĂ©site pas une seconde Ă  fourrer ma langue, ce qui lui laissai un petit soupir. Je continue Ă  lui fouiller l’anus, pendant qu’on me doigte de plus en plus vite. Ma jouissance est Ă  son comble. Marina la petite brune n’en finit plus de gĂ©mir de plaisir. On continue notre spectacle tout en regardant nos maitres d’un regard provocateur et aguichant. Nous sommes trois salopes en Ă©tat d’excitation totale. J’ai une pensĂ©e pour ma tante, qui je pense savais très bien dans quoi elle m’entrainait.

Estelle la blonde se retire et va en direction de son homme… Marina et moi après un dernier long baiser nous dirigeons vers nos hommes respectifs…..

La soirĂ©e ne fait que commencer et le meilleur reste Ă  venir…

Toujours Ă  quatre pattes je le regarde droit dans les yeux en marchant vers lui, mon regard en dit long sur mes envies. C’est fou comme je suis transformĂ©e, moi qui Ă©tais un jeune garçon timide, je suis devenue une femme sexy jouant de ses charmes. Il saisit mon collier et me tend sa verge que je connaissais maintenant, elle sentait un peu fort le sperme, mais ça ne m’empĂŞche pas de la savourer comme il se doit. J’entame donc une fellation qu’il semble apprĂ©cier. Il se relève et me dit de m’allonger sur le canapĂ© sur le ventre. En bonne « chienne » je lui obĂ©is, il s’approche de mon visage et me fourre la bouche de son sexe, cette fois c’est lui qui rythme il l’enfonce très profond ce qui a chaque fois me fait tousser. C’est très très humide maintenant, ça coule un peu de partout et ça m’excite Ă©normĂ©ment.

Il se retire et me retourne aussi tĂ´t, il relève ma jupette, et me cracha un bon jet de salive dans l’anus. Je sens son gland en contact avec mon anus, il parvient Ă  entrer, sa verge est très humide ce qui facilite son entrĂ©e. Il finit par la rentrer entièrement, je jouis de plaisir alors qu’il entame des vas viens lent qui me laisse ressentir chaque partie et chaque dĂ©tail de son sexe. Je regarde la jolie marina qui se dirige en face de moi. On peut s’embrasser pendant qu’on se fait prendre chacune en levrette. Son souffle est chaud, et sa respiration en dit long sur son plaisir, elle jouit et cris fort sans retenue. A ses cris s’ajoutent les claquements des mains de Bruno sur mes fesses. Estelle est elle aussi très expressive et chevauche son homme comme une furie. Quel spectacle, tout le monde est excitĂ© au plus haut point, il n’y a plus de retenue seul le plaisir importe.

Je suis en extase total, je n’avais jamais pris autant de plaisir, je suis en Ă©rection totale, Bruno commence Ă  me branler pendant qu’il me dĂ©fonce. Ce qui a dut exciter Estelle car a la vue de cette scène elle s’est placĂ© en dessous de moi pour me sucer, offrant ses fesses a son maitre. Huumm elle suce divinement bien, mieux que toutes les filles qui sont passĂ©es avant elle. Pris d’une jouissance Ă©norme je ne peux retenir mes cris de plaisir, ce qui ne fait qu’augmenter l’excitation de Bruno qui gĂ©mit lui aussi, je sens que ça monte je lui dis que je vais sortir, mais elle insiste d’autant plus sur mon gland. Je lui gicle en plein dans la bouche, au mĂŞme moment je sentis dans mes fesses le jus tout chaud de Bruno qui s’est rependu. Il se retire et me fait lĂ©cher son sexe, un peu de sperme restant. Je m’Ă©croule au sol totalement Ă©puisĂ©e, je vois Ludo qui se masturbe au dessus du visage Ă  Marina lui envoyant une bonne dose sur le visage. Estelle de son cotĂ© avait totalement avalĂ© le mien et s’apprĂŞte Ă  recevoir celui de Marc.

Je suis toujours au sol je me remets de mes émotion le cul dégoulinant, Bruno quand a lui il termine son verre encore essoufflé.

- Ca c’est bon. Dis Marc encore tout retournĂ©
- C’est clair, les filles vous connaissez le chemin de la salle de bain si vous voulez. Dit Bruno

Marina me pris par la main, et m’entraina dans la salle de bain, Estelle nous suivit.

- T’es une bombe Leina, t’as quel âge.
- Merci j’ai 20 ans.
- Tu me rends jalouse avec tes formes, et tu as de quoi faire rougir plusieurs femmes.
- C’est sympa, t’es pas mal non plus.
- Tournes toi on va te nettoyer tout ca. T’as pris ton pied.
- Oh ouiiii

Après un petit nettoyage et une retouche maquillage expresse, nous avons rejoint la salle Ă  manger et on s’est mis Ă  table. Après un bon diner chacun repartit chez eux.

- Huumm t’as Ă©tĂ© superbe ce soir, mĂŞme après tout ça tu es encore belle.

Il m’embrassa tendrement, et m’empoigna les fesses.

- Je vais te ramener chez ta tante, elle t’attend.
- Oui merci.

On prit donc sa voiture, une grosse berline noire de grande marque. J’Ă©tais toujours en tenue d’Ă©colière, je sentais le cuir sur mes fesses, un vrai plaisir.

- Leina je pars en vacances au BrĂ©sil j’aimerais que tu m’accompagne
- C’est un peu soudain, je ne peux pas partir comme ça.
- Réfléchis un peu et on en reparle.

J’arrive chez ma tante, Bruno me dit au revoir d’un tendre baiser.

- Wahouu mais quelle coquine dans cette tenue.

Elle m’attendait chez elle, et me dit ca avec un grand sourire.
- Tu savais ce qui m’attendait, avoues.
- Moi. Non du tout.

Bien sĂ»r avec une grande ironie. Je vois que sur la table il y a deux verres, et vu la petite nuisette dans laquelle elle m’a accueillit j’en dĂ©duis qu’elle Ă  passĂ© une bonne soirĂ©e aussi….

- Bon viens la tu va tout me raconter. Petite cochonne.